PI et CKPLAN

PI et CKPLAN

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“The methods of theoretical physics should be applicable to all those branches of thought in which the essential features are expressible with numbers.”

Paul Dirac ((from the speech at the Nobel Banquet in Stockholm, December 10, 1933)


"l'univers est nombre."
"l'univers est écrit en langage mathématique. " Galilée
Le nombre porte en lui sa dimension temporelle ET matérielle.



R.G.U. : Réalité Générale de l'Univers



et

le temps .






Et Dieu créa le nombre, comme mesure du temps, l'homme le chiffre.

Constante arithmétique (Cf constante cosmologique) :
CKPLAN=5,55382562855700000E-17



"13 chiffres significatifs, somme 66 "











Me signaler par E-Mail , ou au tel , les inepties, ou erreurs ou imprécisions, banalités, ouverture de portes ouvertes, en faisant référence au message ECRIT ou vous n’êtes pas d'accord ou dans le doute, ou dans la compréhension , et non pas à des considérations philosophiques ou littéraires, générales .



CARPE DIEM.



Rendons grâce à Dieu.


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dimanche 25 décembre 2022

Caractéristique d'Euler Théorème de Descartes-Euler


 Soit un polyèdre de genre 0, on note :

  • f   le nombre de faces de celui-ci,
  • a   le nombre d'arêtes de celui-ci,
  • s   le nombre de sommets de celui-ci,

On peut démontrer qu'on a toujours :    s - a + f = 2 \,

Preuve

samedi 17 décembre 2022

 

Les Nombres de Lychrel Et les Palindromes

Pour comprendre les nombres de Lychrel, il faut tout d’abord saisir la définition de palindrome.
Les palindromes peuvent prendre la forme d’une phrase ou d’un nombre et s’écrivent de la même façon à l’endroit et à l’envers.

17371 est par exemple un nombre palindrome.


Lorsque l’on additionne à répétition un palindrome avec son inverse et que le résultat ne forme pas un nombre palindrome, il s’agit d’un nombre de Lychrel.

59 n’est pas un nombre de Lychrel puisque :

59+95 = 154
154+451 = 605
605+506 = 1111

En effet, on aboutit ici à un autre palindrome.

Le plus petit nombre pour lequel on n’a pas trouvé de palindrome est 196 et c’est exactement ce qui passionne chaque chercheur en mathématiques.

Nombre de Belphegor

 Les fans de la série "The Big Bang Theory", par exemple, se souviennent peut-être que le Dr Sheldon Cooper a dit...

"Le meilleur nombre est 73. Pourquoi ? 73 est le 21e nombre premier."

"Son miroir, 37, est de 12° et son miroir, 21, est le produit de la multiplication de 7 x 3".

"En binaire 73 est un palindrome, 1001001, qui à l'envers est 1001001."


3*333667=1001001


Dubner a entrepris de tracer un ensemble de nombres premiers commençant à 16661 et ajoutant des zéros de chaque côté, entre 1 et 6.

C'est-à-dire qu'il a commencé par 16661 -qui est un nombre premier-, et a vérifié si 1 0 666 0 1 était aussi un nombre premier. Ce n'était pas.

Il a fait la même chose avec 1 00 666 00 1, 1 000 666 000 1... et aucun n'était premier, mais il n'a pas abandonné.

Il continua sans succès jusqu'à ce qu'il atteigne 100000000000006660000000000001 et... eureka ! trouvé le premier des nombres avec ces caractéristiques qui était premier.

Dubner a poursuivi sa tâche laborieuse et a découvert que ceux avec 42, 506, 608, 2472 et 2623 zéros ajoutés étaient également des nombres premiers.


De plus, il a remarqué que ce nombre bestial dans ce premier nombre premier "était entouré de 13 zéros des deux côtés, longtemps considéré comme superstitieux comme un nombre malchanceux dans la culture occidentale", a déclaré Pickover à BBC Mundo.

En plus de cela, "il avait 31 chiffres au total, soit 13 à l'envers".

Le mathématicien a décidé de donner à 10000000000000660000000000001 un nom : le cousin de Belphégor.


Nombre de Belphégor — Wikipédia (wikipedia.org)



Le nombre de la bête (cadaeic.net)

dimanche 4 décembre 2022

PI surprenant ? Pi day de 2020



http://www.angio.net/pi/piquery.html
http://www.gecif.net/articles/mathematiques/pi/#nombres_premiers
    ** Une propriété vraiment surprenante a été découverte par T.E. Lobeck de Minneapolis. A partir du carré magique 5x5 ci-dessous, on substitue à chaque chiffre n du carré le n-ième chiffre du développement décimal de Pi. Par exemple, pour la case 25, on trouve un 3 à la position 25 des décimales de Pi. On obtient alors un nouvel arrangement de nombres : chaque rangée possède une somme identique à celle d'une colonne !
17241815
2
4
3
6
9
(24)
23571416
6
5
2
7
3
(23)
46132022
1
9
9
4
2
(25)
101219213
3
8
8
6
4
(29)
11182529
5
3
3
1
5
(17)
(17)
(29)
(25)
(24)
(23)



http://www.pi314.net/eng/anecdotespi.php

** Monte Zerger noticed that, at the positions 722113335 in the digits of Pi, we find the same number 2. Of course, these positions refer to the famous fractions 22/7 and 335/113 which approximate Pi.

et 17 28 34 54 64 74 77 84 90 94 103 115 136 137 141 150 161 166 174 186 187 204 222 230 242 245 261 276 281 290 293 299 303 327 330 334 


Ce monsieur ne dit pas dans les décimales de PI, mais dans le chiffres de PI ( “in the digits” et non pas “in the decimals of pi”) , Il part donc bien de 3,
A noter que 333/106 n’est pas commenté ! et les autres fractions continues non plus ?????
\frac31~(1),\qquad\frac{22}7~(3),\qquad\frac{333}{106}~(5),\qquad\frac{355}{113}~(7),\qquad\frac{103993}{33102}~(9),\qquad\frac{104348}{33215}~(10)\ldots




Somme à 65 sur le carré initial.
La somme des 20 premières décimales de PI = 100

Le point FEYNMAN à la 762 ème position.


Le point de Planchon 666 12345 888 dans pi :

https://flechedutemps.blogspot.com/2013/02/dans-pi.html

http://en.wikipedia.org/wiki/Feynman_point

"Les ordinateurs ne servent à rien ils ne donnent que des réponses"
Pablo Picasso

http://www.pi314.net/fr/anecdotespi.php




3,141 592 653 589 793 238 462 643 383 279 50

314 159 265 358 979 323 856  264 338 327 950



SOURCE

lundi 28 novembre 2022

Ludolph van Ceulen

 En 1587, le bourgmestre de Delft Jan Cornets de Groot,

mathématicien amateur reconnu et père du juriste, 

Hugo Grotius, traduit pour lui les livres d'Archimède. 


Van Ceulen y peut lire qu'en découpant le cercle en 96 parties on montre que


 ^{{223\over71} <\pi <{22\over7}}.


 Il en déduit d'autres approximations de π en utilisant, comme l'avait fait Viète en 1579, des nouvelles suites de polygones réguliers.

lundi 7 novembre 2022

Formule de Legendre

 En mathématiques et plus précisément en théorie des nombres, la formule de Legendre donne une expression, pour tout nombre premier p et tout entier naturel n, de la valuation p-adique de la factorielle de n (l'exposant de p dans la décomposition en facteurs premiers de nǃ, ou encore, le plus grand entier  tel que  divise n!) :

où  désigne la partie entière de , également notée .

Cette formule peut se mettre sous la deuxième formeoù  désigne la somme des chiffres de  en base .

Historique[modifier | modifier le code]

Adrien-Marie Legendre a publié et démontré cette formule dans son livre de théorie des nombres en 18301. Elle porte aussi parfois le nom d'Alphonse de Polignac2.

Version récursive[modifier | modifier le code]

On a également la relation de récurrence2 :permettant un calcul récursif très simple de .

Par exemple, par combien de zéros se termine (en) le nombre  ? .

Le nombre  se termine donc par  zéros.

Nombre Harshad

 En mathématiques récréatives, un nombre Harshad, ou nombre de Niven, ou nombre multinumérique est un entier naturel qui est divisible par la somme de ses chiffres dans une base donnée. Le nom de Harshad leur a été donné par le mathématicien Dattatreya Ramachandra Kaprekar et signifie en sanskrit grande joie. L'appellation « de Niven » est un hommage au mathématicien Ivan Niven qui a publié un article et présenté une conférence en théorie des nombres sur leur sujet en 1977. En base b, tous les nombres de 0 à b et toutes les puissances de b sont des nombres Harshad.

Nombre Harshad en base dix[modifier | modifier le code]

En base dix, les vingt premiers nombres Harshad strictement supérieurs à 10 sont (suite A005349 de l'OEIS) :

12182021242730364042454850546063707280 et 81.

Les quotients obtenus se trouvent dans la suite OEISA113315 de l'OEIS.

Quels nombres peuvent être des nombres Harshad ?[modifier | modifier le code]

En prenant le test de divisibilité par nombre 9, on pourrait être tenté de généraliser que tous les nombres divisibles par 9 sont aussi des nombres Harshad. Mais pour déterminer si n est Harshad, les chiffres de n ne peuvent être additionnés qu'une fois et n doit être divisible par cette somme ; sinon, ce n'est pas un nombre Harshad. Par exemple, 99, n'est pas un nombre Harshad, puisque 9 + 9 = 18 et 99 n'est pas divisible par 18.

Aucun nombre premier p strictement supérieur à 10 n'est Harshad. En effet, la somme de ses chiffres est strictement comprise entre 1 et p donc ne peut pas diviser p.

En base dix, les factorielles des nombres entiers inférieurs ou égaux à 431 sont des nombres Harshad. Le nombre 432! est la première factorielle à ne pas être un nombre Harshad1. En voici quelques autres : 444!, 453!, 458!, 474!, 476!, 485!, 489!.

jeudi 27 octobre 2022

carres magiques

 Carrés Frénicle (magictesseract.com)


Ligne n colonne p

Triangle de Pascal ligne n colonne p .... 2^n  1................1


2 La question du Carré - MELENCOLIA I - - artifexinopere



En mathématiques, un inverse est le nombre 1 divisé par un autre nombre (aussi appelé fraction unitaire), comme 1/3 ou 1/7. En base 10, le reste, et donc les chiffres, de 1/3 se répètent une fois : 0,3333… Néanmoins, la période répétitive du développement décimal de 1/7 est de six chiffres = 0,142857142857142857… De façon fortuite, les multiples de 1/7 sont des permutations cycliques de ces six chiffres :

1/7 = 0, 1 4 2 8 5 7…
2/7 = 0, 2 8 5 7 1 4…
3/7 = 0, 4 2 8 5 7 1…
4/7 = 0, 5 7 1 4 2 8…
5/7 = 0, 7 1 4 2 8 5…
6/7 = 0, 8 5 7 1 4 2…

Si ces chiffres sont disposés dans un carré, chaque ligne et chaque colonne donneront la même somme, en l'occurrence 1+4+2+8+5+7=27. Les diagonales ne donnant cependant pas 27, il ne s'agit pas d'un carré magique.

1 4 2 8 5 7
2 8 5 7 1 4
4 2 8 5 7 1
5 7 1 4 2 8
7 1 4 2 8 5
8 5 7 1 4 2

Tous les autres inverses de nombres premiers en base 10 avec une période maximum p-1 produisent des carrés dans lesquels toutes les lignes et les colonnes ont une somme identique, mais seuls quelques uns constituent des carrés magiques.




mercredi 19 octobre 2022

samedi 15 octobre 2022

Cône de lumière

 

Cône de lumière

Le cône de lumière centré sur un événement.

En physique, le cône de lumière est une notion fondamentale de la théorie de la relativité, permettant à partir d'un événement  la distinction entre les événements passés, les événements futurs et les événements inaccessibles (dans le passé comme dans le futur)1.

Le cône de lumière est ainsi désigné à la suite de Hermann Minkowski (-)2. Mathématiquement, un cône de lumière est un hypercône (en)3,4.

Dans le cadre de la relativité restreinte, les événements de l'espace-temps autres que  se divisent en trois catégories : le passé absolu et le futur absolu de  d'une part — ces événements se produisant à l'intérieur du cône —, et l'ailleurs d'autre part — qui est constitué des autres événements. Les événements intérieurs au cône peuvent être liés causalement avec  ; par contre les événements situés dans l'ailleurs de  sont dits causalement déconnectés de  et ne peuvent l'influencer ou être influencés par lui1.

Dans le cadre de la relativité générale, à chaque événement est attaché un cône de lumière infinitésimal, qui concerne les événements infiniment proches (au sens de la métrique lorentzienne). Alors qu'en relativité restreinte les cônes de lumière de tous les événements (dans un référentiel donné) sont parallèles entre eux, ce n'est plus le cas en relativité générale, en raison de la courbure de l'espace-temps5.


Intervalle d'espace-temps[modifier | modifier le code]

Un référentiel inertiel étant choisi, considérons deux événements séparés dans l'espace par la distance  et dans le temps par l'intervalle de temps . En relativité restreinte, ces deux quantités ne sont pas invariantes par changement de référentiel.

Par contre, en relativité restreinte, la quantité (notée formellement avec un carré)  est invariante par changement de référentiel, il en est de même pour son signenote 1.

En particulier, en fixant un événement noté , on classe chaque événement de l'espace-temps en fonction du signenote 2 de l'intervalle d'espace-temps qui le sépare de . Le signe de l'intervalle d'espace temps étant invariant par changement de référentiel, cette classification est indépendante de l'observateur et de son référentiel.

Bord du cône[modifier | modifier le code]

Les événements séparés par un intervalle  tel que  sont ceux qui sont à une distance spatiale  et une distance temporelle  de  telles que . C'est-à-dire que ces événements ne peuvent être joints depuis  que par un message ou influence allant à la vitesse de la lumière1. De plus, l'égalité  est l'équation du bord à trois dimensions d'un cône de révolution dans un espace à quatre dimensions.

D'où le nom de cône de lumière.

Intérieur du cône[modifier | modifier le code]

Les événements séparés par un intervalle  tel que  sont ceux qui sont à une distance spatiale  et une distance temporelle  de  telles que . C'est-à-dire que ces événements peuvent être joints depuis  par un message ou influence allant à la vitesse strictement inférieure à celle de la lumière : c'est a priori réaliste. Ainsi, il peut y avoir une relation de causalité entre  et l'un quelconque de ces événements1. De plus, l'égalité  est l'inéquation de l'intérieur à quatre dimensions d'un cône dans un espace à quatre dimensions.

La partie supérieure de l'intérieur du cône contient tous les événements futurs que l'on peut joindre à partir de .

La partie inférieure de l'intérieur du cône contient tous les événements passés à partir desquels on pouvait joindre .

Ainsi, si  correspond à un événement cosmologique, tel qu'une supernova, tous les événements  sur Terre précédant la vision de cette supernova sont situés à l'extérieur du cône. Ceux où cette supernova est visible sont situés au bord du cône, et à partir de là cette supernova est susceptible d'influer des événements sur Terre (tels que faire orienter des télescopes dans sa direction voire modifier des théories cosmologiques...), lesquels sont situés à l’intérieur supérieur du cône.

Extérieur du cône[modifier | modifier le code]

Les événements séparés par un intervalle  tel que  sont ceux qui sont à une distance spatiale  et une distance temporelle  de  telles que . C'est-à-dire que ces événements ne peuvent être joints depuis , car la vitesse de tout message ou influence est strictement inférieure à celle de la lumière en relativité restreinte : la jonction n'est pas réaliste.

Les événements qui sont dans cet extérieur du cône sont dits ailleurs par rapport à  et ne peuvent être en relation causale directe avec lui1.

De plus, l'égalité  est l'inéquation de l'extérieur à quatre dimensions d'un cône dans un espace à quatre dimensions.


On n'est pas très loin de Pythagore généralisé :


3333333....^n+4444444.....^n=5555555^n


le "3" le "4" et le "5" existent à la base .....


Intervalle d'espace-temps


Expression en relativité restreinte[modifier | modifier le code]

Dans l'espace euclidien en trois dimensions, le carré de la distance  entre deux points A et B de coordonnées (xA, yA, zA) et (xB, yB, zB) par rapport à un repère cartésien orthonormé s'exprime sous la forme :

ce que l'on écrit couramment de façon plus condensée

Il est évident qu'en physique classique, cette grandeur est invariante par changement de référentiel. Mais ce n'est plus le cas en physique relativiste.

Dans la géométrie de l'espace-temps de la relativité restreinte, on écrit le « carré de l'intervalle d'espace-temps », noté , entre deux événements A et B de coordonnées (tA, xA, yA, zA) et (tB, xB, yB, zB) dans un espace-temps à quatre dimensions (une de temps, soit t, et trois d'espace) sous la forme

ou

expression dans laquelle le facteur c2 (vitesse de la lumière au carré) s'impose par le biais des transformations de Lorentz ou des principes de la relativité restreinte, suivant la méthode utilisée pour justifier son invariance par changement de référentiel inertiel.

La pseudo-métrique, notée , est définie par  ou  suivant la convention de signes  ou  choisie1.




La relativité - Le cône de lumière (astrosurf.com)


https://www.luth.obspm.fr/~luthier/gourgoulhon/fr/master/relatM2.pdf

Sur le cliché, on voit cette très jeune étoile (âgée de seulement 100 000 ans), cachée dans l'obscurité par le bord d'un disque de gaz en rotation au niveau du col du sablier. Mais la lumière de cette protoétoile "fuit" au-dessus et au-dessous de ce disque, éclairant les cavités dans le gaz et la poussière environnants, ont expliqué la Nasa et l'Agence spatiale européenne (ESA) dans un communiqué commun. "Cette vue de L1527 offre une fenêtre sur ce à quoi ressemblaient notre Soleil et notre système solaire à leurs débuts", illustrent-elles.




L'archétype de forme quadratique est la forme x2 + y2 + z2 sur ℝ3
qui définit la structure euclidienne et dont la racine carrée permet de calculer la norme d'un vecteur.


 Un autre exemple très classique est la forme x2 + y2 + z2 – t2 sur ℝ4
qui permet de définir l'espace de Minkowski utilisé en relativité restreinte

C'est pourquoi la théorie des formes quadratiques utilise le vocabulaire de la géométrie (orthogonalité).
 La géométrie est un bon guide pour aborder cette théorie, malgré quelques pièges, liés notamment aux questions de signes ou plus généralement au choix du corps dans lequel varient les coefficients.

  • La norme usuelle (euclidienne) d'un vecteur peut se calculer à l'aide de ses coordonnées dans un repère orthonormé à l'aide du théorème de Pythagore.
    • Dans le plan, si le vecteur  a pour coordonnées , sa norme s'écrit

      Si les points  et  ont pour coordonnées respectives  et  alors :
    • Dans l'espace, si le vecteur  a pour coordonnées , sa norme s'écrit :

      Si les points  et  ont pour coordonnées respectives  et  alors :

  • La norme (euclidienne) d'un vecteur peut s'obtenir à partir du produit scalaire du vecteur avec lui-même :




Bases de numération

From: To:
Result:
UnitConversion.org - the ultimate unit conversion resource.